G2E TERE est heureux de partager la publication chez Enerpresse d’un document co-rédigé avec des membres de l’association G2E-TERE (https://g2etere.org), Daniel Heuer, Elsa Merle, Patrick Criqui, Michel Belakhovsky, Nicolas Breyton, Jean-Marie Loiseaux, sur les réacteurs à sels fondus.
G2E-TERE tient à remercier vivement Farah Hariri, physicienne nucléaire, pour ses avis et conseils éclairés. L’un des auteurs (MBy) tient également à remercier Jean-Luc Vermeulen, ancien responsable à Total, pour ses précieux commentaires.

Des politiques énergétiques différentes sont menées au sein des nations de l’Union Européenne (EU) pour relever le défi du CO2, mais une attention est désormais accordée à une union européenne de l’énergie. Celle-ci doit relever l’un des plus grands défis auxquels nous sommes confrontés: la réduction des émissions de gaz à effet de serre tout en fournissant un approvisionnement énergétique fiable et sûr. Or, nous sommes aujourd’hui dans une phase de transition qui ne possède pas encore une seule et unique solution durable au problème énergétique. Pour décarboner l’économie, cela nous oblige à rester ouverts à toutes les combinaisons possibles, y compris les technologies nucléaires.

La technologie des réacteurs nucléaires déployés actuellement ne permet pas une fermeture du cycle du combustible et peine à adresser deux préoccupations : l’une liée à l’acceptabilité sociale (problème spécifique des déchets radioactifs et risque d’accidents majeurs), l’autre liée à la disponibilité des ressources sur le long terme. Une renaissance de l’énergie nucléaire exige donc que celle-ci soit sûre, propre, sobre, durable, économique et socialement acceptable. Il existe plusieurs voies.

Lire sur le document complet sur le hub G2R TERE:

https://ub.stream/g2e/media/87ef92b3-650d-44a1-9626-772c58a77859/#v=Version1&l=fr

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